Cliquez ici >>> 🐬 chanson tu m avais dit pour le printemps

Etc’est la chanson du printemps. Le rosier s’effeuille sur la vasque, Et c’est le carmin du printemps. Le soleil se joue sur la vasque, Et c’est le sourire du printemps. * * * La lune argente l’eau de la vasque, Et c’est son visage, pĂąle d’amour. Mais la nuit entĂ©nĂšbre la vasque, Et mon cƓur ne sait plus si Elle m’aime. 6 Tum’as dit doucement qu’on avait en dedans. Toutes les solutions Ă  nos questionnements « CroĂźs au printemps », c’est la nouvelle chanson que -M- (Matthieu Chedid) a composĂ©e pendant le confinement. Le clip met en scĂšne des images tournĂ©es par des personnes confinĂ©es, qui se superposent Ă  travers plusieurs Ă©crans. Une chanson conçue « pour l’aprĂšs » et porteuse VladimirNabokov (1899-1977) - Carson McCullers (1917-1967) - Tennessee Williams (1911-1983) - .. Last Update: 31/12/2016 NicoleCroisille Letra de Tu m'avais dit: Tu m'avais dit "nous deux c'est tout un avenir" / Tu m'avais dit "je ve Deutsch English Español Français Hungarian Italiano Nederlands Polski PortuguĂȘs (Brasil) RomĂąnă Svenska TĂŒrkçe ΕλληΜÎčÎșÎŹ БългарсĐșĐž РуссĐșĐžĐč СрпсĐșĐž Ű§Ù„ŰčŰ±ŰšÙŠŰ© ÙŰ§Ű±ŰłÛŒ æ—„æœŹèȘž 한ꔭ얎 DĂ©couvrezTu M'Avais Dit de Werrason sur Amazon Music. Écoutez de la musique en streaming sans publicitĂ© ou achetez des CDs et MP3 maintenant sur Amazon.fr. Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nĂ©cessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour amĂ©liorer vos expĂ©riences d'achat et fournir nos Les Site De Rencontre Payant En France. InterprĂštes Autrefois YahvĂ© vint prendre thĂ© / Chez son vieux pote Abraham / Il lui dit Mon vieux, t’as l’air de douter / Je dois Ă©prouver ton Ăąme / Si tu crois en moi, si j’ai ton soutien / En un mot, si t’as 
 J’ai la nostalgie des amours anciennes / Aux parfums d’étĂ© habillĂ©s de vous / Vous Ă©tiez dimanche au cƓur des semaines / Vous Ă©tiez dimanche et l’air Ă©tait doux / Que sont devenues les saisons ancienn
 Lorsque la source vive / DĂ©chirera la neige / Pour boire la lumiĂšre / Lorsque le champ de blĂ© / DĂ©couvrira son corps / Au pas de la bergĂšre / / Alors dans ma maison y’aura du pain, ma mie / Alors dan
 Je voulais t’offrir une chanson douce / Un petit lit d’herbe oĂč te reposer / Une plage d’ombre Ă  l’odeur de mousse / Un petit ruisseau pour nous y baigner / Mais voici l’hiver plus d’herbe ne pousse /
 Au milieu de nous deux, y’a cet amour si tendre / Si tendre qu’on a peur qu’il s’égare en chemin / DĂšs qu’on le croit perdu, c’est lui qui vient nous prendre / Comme un enfant nous prend quand il nous
 Nous irons jouer dans l’üle / Au jardin de nos amours / Souviens-toi des bois de l’üle / Et des feuilles en abat-jour / / Le moindre sentier au sous-bois de ton corsage / Et la moindre plage est une 
 Toutes les autoroutes / Se ressemblent la nuit / Elles sont sans dĂ©route / Et dĂ©roulent l’ennui / Des villes d’oĂč elles viennent / Et des villes oĂč elles vont / Mais jamais ne parviennent / À percer 
 Avec le vent qui va dansant / Aux bras des arbres du printemps / Depuis le fond des bois jusqu’à la mer / En passant par ta rue / Moi je m’en vais oĂč tu m’emportes / Loin des sentiers, des feuilles mo
 Avec une craie blanche au dos des trottoirs gris / Dessinent les enfants des tombes pour les feuilles / Et le vent vient levant se mĂȘler Ă  leurs cris / Mais ce sont nos vingt ans que les enfants dĂ©feu
 À vingt minutes du centre-ville / J’habite une jolie maison / Dans une banlieue propre et tranquille / Loin du bruit et d’la pollution / Chaque matin je me rĂ©veille / Dans la fidĂšle fatalitĂ© / De l’au
 Moi je suis d’une ruelle / Comme on est d’un village / Entre les hangars de tĂŽle / Pis les sacs Ă  poubelle / Entre la Huit pis la Neuf / Entre la Deux pis la Trois / Entre l’école pis l’église / Ma p’
 Y’en a qui partent sans dĂ©jeuner / D’autres qui font rien sans leur tĂ©vĂ© / D’autres que c’est l’sexe avant de manger / Chacun son style, moi c’est moins gai / Ma journĂ©e peut pas commencer / Tant qu’l
 Y’a des repas pour deux pas chers / Service et vin compris / Avec un peu d’chance, le dessert / On se le sert au lit / Y’a parfois de jolis festins / À la loterie des fesses / Parfois mĂȘme un bout de 
 C’est en toi que je veux mourir / Mon amour d’une amour si belle / Que les Ă©tĂ©s de fleurs nouvelles / N’en finiront plus de fleurir / Ton corps y sera mon tombeau / Sur le chemin des jours de gloire /
 Dans la fumĂ©e oĂč s’esquissent et s’effacent / Les masques flous des invitĂ©s fugaces / Ça sent l’encens, le Maroc et la Main / Ça danse le rock, le tango et le plain / Le Roi de Pique vient de porter u
 Dans le ventre engourdi / De l’avion qui grignote / En l’émiettant, la nuit / Les voyageurs repus / Sous l’écran qui clignote / Ne parlent presque plus / Le film est ennuyeux / Un soldat meurt au fr
 Dans le bar de l’hĂŽtel / OĂč je chante au piano / Tu reviens t’asseoir chaque soir / Toujours plus seule et belle / Devant ton Cinzano / Tu m’auras souri dans le noir / Ce n’est qu’une chanson, madame 
 C’est vrai qu’elle a de jolis yeux / Et quand le ciel parfois se brouille / J’y vois deux grands soleils qui mouillent / Bleus nous le gris verts sous le bleu / C’est vrai qu’elle a de jolis yeux / /
 J’ai tressĂ© une chaĂźne / Pour t’attacher le cƓur / Plus chaude que la laine / Plus douce qu’un bonheur / Moi j’en ferai ta couche / J’en ferai ton pommier / Et le vent sur ta bouche / Se fera baiser /
 Il neige tout sommeille / L’hiver couvre nos pas / Je reste si tu veilles / Ne m’abandonne pas / / Le vent dehors a tout glacĂ© / Oh! souviens-toi de la tendresse / Au fond de nous chaque jour laisse 
 Les doigts de la pluie jouent sur le toit / Une mĂ©lodie de je ne sais quoi / Sur le bureau, mon dactylo / Cherche des mots qui riment en o / Qui riment en i avec la pluie / Avec la nuit, avec l’ennui
 Y’a des poissons dans l’eau / De l’eau dans la riviĂšre / Et ta main dans la mienne / / AttachĂ©s l’un Ă  l’autre et plus libres pourtant / Nous allons traversant larmes et cimetiĂšres / Le temps s’est f
 Est-ce la joie de vivre ou la mĂ©lancolie / Est-ce le vent d’hiver ou le soleil d’étĂ© / La pivoine au jardin la guerre ou la folie / Ma mie dis-moi pourquoi j’ai le goĂ»t de chanter / / Est-ce la feuil
 Le chanteur indigĂšne a sorti son violon / Son gazou, sa bombarde et son accordĂ©on / Enfin la panoplie des accessoires ethniques / Qui pĂąment les Français et rĂ©veillent nos critiques / / Le chanteur i
 Les cheminĂ©es sont hautes / Et lourdes les fumĂ©es / Les loyers sont trop chers / Et c’est si dur d’aimer / / Chez nous c’est pas la mer / Ni les bois ni l’espace / C’est les autos qui passent / Et le
 Moi j’aime les choses inutiles / Les bonheurs tranquilles / Qui ne coĂ»tent rien / Les couchers de soleil sur la ville / Les bibelots dĂ©biles / Les orchestres anciens / Le chant des bruants sur les fil
 Quelques fois ma maĂźtresse / D’autres fois ma sƓur / Quelques fois mon ivresse / D’autres fois ma peur / Quelques fois ma sagesse / D’autres fois ma folie / Mais toujours en amour / Mon amour mon a
 VoilĂ  que fanent les annĂ©es / Comme les roses / VoilĂ  que meurent les annĂ©es / Avant qu’écloses / Vous qui dansez Ă  l’ombre des grands houx / Joyeux bergers des pays de silence / Ah! Dites-moi si l’am
 C’est l’hiver Ă  longueur d’annĂ©e / Et l’encre gĂšle dans ma plume / Les mots se sont dĂ©racinĂ©s / Dans ma cervelle de bitume / Faut croire que je suis mal programmĂ© / Faudrait consulter l’IBM / J’ai la 
 Sur les murs de la classe / Chaque lundi matin / De vieilles poussiĂšres lasses / Font des psaumes en latin / Puis elles parlent de Rome / Et des beaux jours anciens / Moi je croque ma pomme / Et je n’
 Chaque nuit pendant son sommeil / Le pays rapetisse dans son lit / Si on le voit pas quand on se rĂ©veille / C’est p’t-ĂȘtre qu’on rapetisse nous autres aussi / / Le printemps rapetisse / L’étĂ© rapetis
 C’était un soir de mai / A l’hĂŽtel de septembre / Elle Ă©tait trop jolie / Pour se tromper de chambre / Moi j’étais trop perdu / Pour ne pas la trouver / Et nous Ă©tions trop seuls / Pour ne pas nous ai
 Marcher sur les chemins d’étĂ© / Une fleur Ă  la bouche / Si prĂšs de l’ñme de l’étĂ© / Si prĂšs que l’on y touche / Parler sans les mots du regard / À l’aube qui frissonne / Chanter sans plus jamais savoi
 J’prends mon journal, j’me trouve un banc / MĂ©tro Beaugrand / Nouveau plafond pour l’inflation / À Radisson / Comment ce qu’on va payer l’loyer / Sur Langelier / J’ai l’goĂ»t d’descendre Ă  Cadillac / 
 Je sais qu’on se rencontrera / Un aprĂšs-midi de dĂ©cembre / Un soleil distraitement las / S’en viendra flĂąner dans la chambre / OĂč le hasard nous mĂšnera / En ayant l’air de se mĂ©prendre / Mais je sais 
 Coule, ruisseau des jours perdus / Coule ton eau, lĂšche ta rive / Je passe le pont et j’arrive / Aux sables des pas inconnus / Coule, mon nom, au loin dĂ©rive / Et porte au fond ce que je fus / / Cote
 DrĂŽle de pays qu’on pensait bĂątir y a dix ans / DrĂŽle de pays qu’on pense maint’nant faire dans vingt ans / En attendant d’ĂȘtre sur la carte on fume son joint / On prend son coup chacun tranquille dan
 Ca fait quinze ans que j’magasine / Au supermarchĂ© du savoir / Et si l’école, c’est pas l’usine, / J’suis pas payĂ© pour le savoir / J’aurai mon diplĂŽme en chĂŽmage / A la fin d’la prochaine session / J
 Depuis Charlesbourg / jusqu’à Gravelbourg / de Rouyn-Noranda / Ă  Saint-Jean-d’-Matha / via Fatima / un soir Ă  Paris / l’autre Ă  Ville-Marie / j’ai prom’nĂ© mes chansons de ville en ville / j’en ai fait
 J’ai perdu mon Chemin / Que’qu’ part entre Malibu / Et Ville d’Anjou / Si vous le voyez passer / Dites-lui de me tĂ©lĂ©phoner / À frais virĂ©s / Sans mon chemin dessous / Mes pieds sont comme un peu soĂ»l
 C’est janvier c’est janvier / Depuis tellement d’annĂ©es / Que mĂȘme les plus anciens / Ont oubliĂ© l’étĂ© / C’est janvier dĂ©solĂ© / Sur ma terre natale / Avec ses neiges dĂ©mentes / Et ses froids secs et b
 J’suis v’nu au monde d’une erreur de calcul / Ma moman s’est trompĂ©e de pilule / Mon popa changeait trop de position / En sortant je soufflais dans l’condom / / À l’école ma maĂźtresse m’a trompĂ© / On
 J’habite une Ă©trange maison / Dont les enfants sont les fenĂȘtres / Jouant des vents et des saisons / Que nul n’y puisse reconnaĂźtre / Les murs d’une ancienne prison / OĂč vont parmi nos amours nues / L
 J’ai coupĂ© la ficelle / Du plus haut cerf-volant / DessinĂ© sur ses ailes / Mes images d’enfant / Un chat blond, une orange, / Un vieil harmonica, / Gare Ă  qui le dĂ©range / Il s’en repentira / / J’ai 
 Le tĂ©lĂ©phone / La porte qui sonne / Le stĂ©rĂ©o / Contre la radio / Le violoncelle / Dans la poubelle / Rapport d’impĂŽt / Et mal au dos / / TempĂȘte de neige / C’est le manĂšge / OĂč les charrues / B
 Y a pas grand monde Ă  soir au Junction One-O-One / et le soleil couchant de la Saskatchewan / passe Ă  travers les stores et s’attable avec moi / pour jaser d’son ennui parler de mon Ă©moi / / Dehors y
 Une ombre passe / Grise au milieu du gris / Au cƓur des jours / Le fruit pourri / Des amours qui manquent d’amour / Les murs ont pris / Bien trop de place / Ne baisse pas tes yeux / J’ai besoin de voi
 Il pleut il neige et les jours passent / J’attends je ne sais quoi j’attends / Je ne sais qui au loin j’entends / Mozart les trains fendent l’espace / Je me trompe c’est Stravinski / Il fait noir la t
 J’ai perdu trop de temps / Dans les livres / J’ai perdu trop de temps / Loin de vivre / J’ai perdu trop de temps loin de toi / Mais maintenant / Le temps qu’il me reste, c’est pour toi / / J’ai perdu
 J’imagine une ville une ville au soleil / À l’échelle du monde une ville est Ă  faire / Pour l’arbre et pour ses fruits pour l’homme et pour ses fils / Pour la vie Ă  venir j’imagine une ville / / La f
 Les faisceaux des phares tracent / Des fantĂŽmes qui s’effacent / À mesure que l’ombre les reprend / Et je roule dans la nuit / Sur des routes oĂč rien ne luit / Que la ligne blanche de temps en temps /
 J’ai jamais su rentrer dans l’rang / Jamais su devenir grand / J’ai toujours eu peur dans la noirceur / Et dans les ascenseurs / Loin des foules et loin des autoroutes / J’prĂ©fĂšre les p’tites routes 
 Quand j’avais dix ans / Ma mĂšre m’a dit mon enfant / Qu’est-ce que tu vas faire / Quand tu seras grand / J’ai dit ne t’en fais pas / On verra ça dans le temps / C’est plus important / / Je ne veux p
 Je t’aime plus que je ne peux le dire / Laisse mes yeux laisse mon corps parler / Laisse ma vie mais ça ne peut suffire / Je t’aime plus qu’on ne peut le chanter / Je sais je sais que l’amour nous res
 Il est au fond de moi / Perdue dans mes ruelles / Une chambre oĂč parfois sur un piano d’occasion / Un nĂšgre fraternel / Joue le blues Ă©ternel / Les yeux dans les fumĂ©es bleues / De ses mĂ©gots de ses r
 La seule fois que je t’ai vu / A la tĂ©lĂ© en soixante-sept / T’avais l’air d’un bĂ»cheron perdu / Dans sa lĂ©gende de poĂšte / Si je t’ai cru presque parent / C’était peut-ĂȘtre, malgrĂ© moi / Juste Ă  cause
 Tu feras comme si tu passais par hasard / Tu ne sonneras pas tu ouvriras la porte / Tu diras me voici et d’un simple regard / Nous nous reconnaĂźtrons malgrĂ© les annĂ©es mortes / / Tu seras courbatu d’
 C’est une vieille gomme qui t’colle au pied / Une dent qui tombe de ton dentier / C’est un Pepsi qu’t’as renversĂ© / Avant d’avoir bu une gorgĂ©e / C’est l’autobus qui t’passe au nez / En prenant soin d
 On a retrouvĂ© / La clĂ© du piano / Elle Ă©tait cachĂ©e / Dans un album de vieilles photos / / On n’ose pas penser / Que ce soit mamie / Mais elle ne jouait plus / AprĂšs que grand-pĂšre est parti / / De
 La corde de la / S’est cassĂ©e sur la / Guitare que tu m’avais laissĂ©e / En souvenir du temps / Innocent d’antan / Qu’ensemble nous avions traversĂ© / / Y rĂ©sonnent encore / Les lointains accords / Des
 La nuit est douce / Repose-toi / La rose pousse / Entre tes doigts / Entre tes reins / Un lit de mousse / La nuit est douce / Et sans chagrin / / La nuit est douce / Ferme les yeux / L’or Ă©clabousse
 La pluie au vent qui se rĂ©pand / Est mon rire qui pleure d’elle / S’en sont allĂ©es les hirondelles / Au temps qui rit au temps qui ment / La pluie au vent me souvient d’elle / / Les doigts mouillĂ©s d
 La rĂšgle du jeu, c’est qu’il n’y’en a pas / Le terrain c’est la coulisse / Les anciens enfants qui s’amusent lĂ  / Sont tous plus ou moins complices / Certains jouent les bons, d’autres les mĂ©chants / 
 On a remisĂ© dans le vieux hangar / Le train, les jonquilles et le chef de gare / Le violon d’HĂ©lĂšne, l’écharpe volĂ©e / C’est l’histoire d’un film jamais terminĂ© / On n’était que trois, mais on Ă©tait f
 J’m’ennuyais, j’m’ennuyais / J’me suis dit J’vas m’tĂ©lĂ©phoner» / J’m’ennuyais, j’m’ennuyais / J’me suis dit J’devrais m’tĂ©lĂ©phoner / Pour prendre de mes nouvelles / Pis pour me dĂ©sennuyer» / / Ma
 Il Ă©tait embaumeur mais jouait du trombone / Et les jours oĂč personne ne daignait trĂ©passer / Seul entre ses cercueils et son vieux gramophone / Il prenait des chorus avec Tommy Dorsey / / Y’a pas de
 Le dĂ©putĂ© ModĂšle / Le bon reprĂ©sentant / Se r’connaĂźt Ă  son zĂšle / S’il lui reste du temps / Quasi apostolique Prends soin de visiter / Pour la chose publique / Les gens de son comtĂ© / / Toute sa 
 Ça passe comme un rĂȘve / Entre nos rives grises / Ça charrie comme un goĂ»t / D’aller chercher plus loin / C’est comme un peu du large / EcartĂ© dans nos rues / Du large qu’on appelle / Et qu’on ne pren
 Je m’effiloche par les bouts / Ă  petits coups je me dĂ©couds / mais j’toffe / pour combien d’temps ça j’le sais pas / peut-ĂȘtre bien que j’avais pas / l’étoffe / en attendant j’fais du piano / dans un 
 Moi si j’avais le choix je deviendrais facteur / y a pas plus beau mĂ©tier que de porter des lettres / des quatre coins du monde aux quatre coins du cƓur / en valsant chaque jour sur quelques kilomĂštre
 Il est temps de joie il est temps de peine / Il est un mois d’octobre il est un mois de mai / Il est un seul dimanche et six jours de semaine / Mais c’est toujours ma mie le temps de nous aimer / / L
 Quand reviendra le temps des chansons / Quand nous aurons trouvĂ© le refrain / Dont tous nos airs anciens n’étaient sans le savoir / Que les couplets Ă©garĂ©s / Dans la neige / / Quand reviendra le tem
 Les amours de quinze ans s’en vont sur les trottoirs / Menant main dans la main leur cƓur Ă  la fontaine / On les voit tendrement qui traversent le soir / Les amours de quinze ans s’en vont Ă  la fontai
 Les chemins sont durs plus qu’on ne le pensait / La mort est au bout de chaque demeure / Encore une fleur que le vent dĂ©fait / Encore une fleur et nos mains se meurent / À vouloir tout prendre et si p
 Les fruits dessous les fleurs nous parlent de septembre / Et de l’éternitĂ© / Je te porte en mes mains / Le doux jardin et l’ambre / OĂč nous aurons Ă©tĂ© / Un peu chacun de l’autre / Et la profonde ch
 Salut Sylvain, comment ça va vieux frĂšre / Tu m’exuseras si j’ai pas trouvĂ© l’temps / D’t’écrire avant, mais y s’passe trop d’affaires / Pis Toronto c’est pas la rue Saint-Jean / Ça fait six mois que 
 Je voulais t’écrire une lettre / Mais voilĂ  je ne trouve pas / Les phrases qu’il faudrait y mettre / Pour te parler de moi sans toi / Pour te dire qu’il fait beau temps / Mais que sans toi tous les pr
 Quand j’ai pris le chemin / Des lignes de ta main / Je me suis endormi / Sur ta ligne de vie / J’ai perdu la cadence / Sur ta ligne de chance / DĂ©sormais plus de fleurs / Sur ma ligne de cƓur / / /
 Fragile entre mes doigts si fleur et si mĂ©tal / Je t’aime / Comme l’herbe s’éveille au soleil matinal / Je t’aime / Tu m’es venue comme la vie comme le sang / Je t’aime / Ô toi mon cƓur battant mon
 Toi qui reviens de long voyage / Toi qui reviens des mondes inconnus / Dis-nous le goĂ»t des paradis perdus / Qu’as-tu vu / J’ai vu sur l’étoile des Mages / Deux amants fous sur une plage / S’aimer sau
 Ce soir la lune est un peu grise / On a trinquĂ© / A la santĂ© de nos valises / Et des pavĂ©s / OĂč l’on titube tous les deux / La lune et moi, on est poĂštes / Et sa valise – devine un peu – / C’est la p
 Marie-HĂ©lĂšne vient juste d’avoir vingt ans / Ça fait six mois qu’est en appartement / Sur les murs blancs d’un p’tit troisiĂšme Ă©tage / Rue Saint-Denis, est partie en voyage / / Marie-HĂ©lĂšne a pourtan
 Moi je me shoote aux dĂ©cibels / Des Rolling Stones Ă  Pachelbel / Mettez d’la ouate si ça fait mal / J’ai deux cent watts dans chaque canal / / J’ai trafiquĂ© tous les gadgets / Suffit qu’on vende pou
 Vingt-cinq ans dans cuisine / Les couches pis les comm’ssions / Le mĂ©nage, le lavage / Le r’passage pis les r’pas / Les enfants mettent mĂȘme pas / Leur linge sale dans l’panier / Ben sĂ»r, moman est là
 J’ai cassĂ© / Les mots / Comme un miroir / En mille morceaux / J’ai plus rien / Que des bouts / Dans ma bouche / Comme des cailloux / / Et je suis / À bout / À bout de phrases / À bout de tout / De s
 Quand sur les bords du Saint-Laurent / Un petit mouton vient Ă  naĂźtre / SitĂŽt son papa lui apprend / Ce que tout mouton doit connaĂźtre / Qu’il n’existe qu’une maniĂšre / De moutonner paisiblement / C’e
 C’est un paysage toujours Ă©tonnĂ© / Que les condos l’aient pas bouffĂ© / Y a le p’tit village toujours accrochĂ© / Entre la mer et l’étĂ© / Et puis y a l’mĂ»rier sauvage / Qui sert de cafĂ© du coin / À tou
 Sait-on jamais qui chante Ă  travers nos chansons / J’entends que d’autres voix se mĂȘlent Ă  la mienne / Je les reconnais mal ensemble elles me viennent / Comme un torrent secret l’hiver sous les glaçon
 Nous marcherons plus loin / Que le bout des chemins / Jusqu’à la source froide / OĂč nos pĂąles poussiĂšres / S’en iront dans le vent / D’un humide matin / Et feront une fleur / En notre cimetiĂšre / / A
 La lampe basse et le divan / La table devant la fenĂȘtre / Les rideaux bleus sur le mur blanc / Il me semble voir apparaĂźtre / La ville avec ses toits anciens / Dans le lointain les bateaux pĂąles / OĂč 
 Elle arrive sans souliers / Comme un rĂȘve familier / Qu’on faisait sans se le dire / Au tournant de l’escalier / / Elle apporte le matin / Dans ses yeux comme un jardin / Un Ă©tang vert oĂč se mire / Q
 Quand le soleil de chaque jour / Qui s’entĂȘte Ă  couvrir de chance / Ce qu’il reste de nos amours / Contre toute espĂ©rance / Dans le moindre rire d’enfant / Dans le moindre chant qui rĂ©ponde / Aux rĂȘve
 Oui nous irons Ă  Old Orchard c’t’étĂ© / OĂč l’air salin vient douc’ment se mĂȘler / Aux parfums d’frites pis de hot-dogs steamĂ©s / OĂč l’bruit des vagues au bruit des rails / des montagnes russes vient s
 Des jours, elle me comblait de roses / Des jours, elle m’accablait pour rien / Des jours morons», des jours moroses / Des jours magie, des jours matin / / Des jours, il se passait des choses / Des j
 Je suis d’une espĂšce menacĂ©e / D’une espĂšce en voie d’extinction de voix / Ni autochtone ni cĂ©tacĂ© / La destinĂ©e, la rose au bois » / J’ai des silences qui sont des cris / Des bĂ©mols qui sont des abr
 Partir, pour refaire Ă  son tour le tour de / ce vieux monde / Partir, pour savoir Ă  son tour que la Terre / est bien ronde / Partir, je l’ai fait plus souvent qu’à mon tour / Sans retour / / Partir, 
 Bien sĂ»r on connaĂźt votre histoire / Pour l’avoir lue dans vos journaux / Un peu trop souvent pour y croire / Vous ĂȘtes partis de zĂ©ro / Vos succĂšs n’ont pas de mystĂšre / Et qui pourrait vraiment dout
 Laissez-la tranquille dans le fond du bar / Avec ses Camel, avec son cafard / Laissez-la trinquer avec ses souvenirs / À la santĂ© de l’avenir / Elle sait plus comment dĂ©ployer ses ailes / Laissez-la 
 Dors c’est l’heure de dormir / Dors ne pleure plus / Dors la lune est Ă  ton carreau qui t’attend / Dors la vie viendra bien assez vite te prendre / Dors c’est l’heure de dormir / Dors / / Ta mĂšre est
 C’est un petit dĂ©sespoir / de rien du tout / un blues qui travaille au noir / et qui s’en fout / de te voir dĂ©river tout seul / c’est jamais lui qui t’engueule / les jours oĂč tu joues plus / les jours
 Petit matin sans horizon / Petit cafĂ©, fumĂ©es d’usines / Je r’garde le derriĂšre des maisons / Les femmes sont Ă  leurs cuisines / Y a des oiseaux qui s’font la cour / Sur les fils du Bell TĂ©lĂ©phone / E
 J’ t’ai vu Ă  la tĂ©lĂ© / Place T’ien an Men / Pantomime Ă©garĂ© devant les chars d’assaut / Ils avançaient vers toi / Place T’ien an Men / Mais toi, tu continuais tes grands gestes d’oiseau / Soudain to
 Pour me souvenir de gel et de vent / Mon Ăąme poudreuse a vĂȘtu mes mots / D’un doux givre / Avant d’éteindre veilleuse / Je veux vous lĂ©guer comme en testament / Ma chanson frileuse / / Ne me parle 
 J’ai voulu mesurer le poids de ta prĂ©sence / Et je n’ai rien trouvĂ© que quatre Ă©ternitĂ©s / J’ai voulu regarder plus loin que le silence / Et j’ai trouvĂ© ton nom au cƓur de mon baiser / Quand finira le
 C’était un professeur notoire / C’était un illustre savant / Un de ceux qui sont loin devant / Oyez sa dramatique histoire / Il avait l’air bien ordinaire / Il avait l’air bien comme il faut / HĂ©las s
 Les comptes s’empilent su’l’frigidaire / Rapport au gel de mon salaire / Le gel des prix – on a compris / En attendant on est mal pris / Ça fait deux mois qu’on est rivĂ©s / Comme deux rivets d’vant la
 On rĂȘvait de changer le monde / Est-ce le monde qui nous a changĂ©s? / L’espoir qu’on semait Ă  la ronde / Aujourd’hui nous semble Ă©tranger / On dĂ©filait pas toujours sages / En entonnant Le DĂ©serteu
 Quand je pense aux enfants qui naissent / Et qui seront notre jeunesse / Quand nous aurons les cheveux gris / Je pense aux miens je pense aux vĂŽtres / Et j’imagine aussi les autres / J’entends leurs r
 Quand le saxo / se met Ă  souffler sur ta peau / quand le vent / de son chant bluesĂ© / sur ton ventre / vient jazzer / / Quand le tĂ©nor / chauffe Ă  te faire perdre le nord / quand tout fond / et que 
 Parfois trop tĂŽt souvent trop tard / Nos montres n’ont pas la mĂȘme heure / Nos amis ne sont que dĂ©part / Et nos amours vont sans demeure / Toutes ces voix qu’on n’entend pas / Ces pas qu’il aurait fal
 Quand nous aurons gagnĂ© la mer / Quand nous aurons reconnu la maison / OĂč nos amours intĂ©rimaires / Au grand soleil enfin s’éclateront / Quand nous n’aurons rien d’autre Ă  faire / Que de laisser le jo
 Un escalier une Ăźle au loin / Le souffle est court mais ça fait rien / Un peu de sport ça fait du bien
 QuĂ©bec / Vieux toits dentelle des pavĂ©s / Silencieuses cheminĂ©es / Parmi les antenn’s de tĂ©lé  A
 Quelque part dans un bar / D’une ville anonyme / Un homme est seul / Il fixe vaguement son verre / Qu’il ne boit pas / / Plus au fond dans le bar / Une femme trĂšs belle / Est assise aussi seule que l
 Il y a quelque part un enfant qui m’appelle / Il y a quelque part un enfant / Au BrĂ©sil, au Sahel ou bien dans ma ruelle / Il y a quelque part un enfant / C’est un enfant de moi que je ne connais pas 
 Quand ça fait quinze ans qu’on s’aime / C’est fatal, on oublie / Les mots doux et les poĂšmes / Le cafĂ© au lait au lit / Quand les peurs que l’on partage / De moins en moins souvent / Appartiennent dav
 Mais qui saura jamais le poids de nos chansons / Mais qui saura jamais qu’elles n’auraient pas de voix / Sans toi / Qu’elles n’auraient pas de mots, qu’elles n’auraient pas de sons / Si tu n’étais pa
 Qu’avez-vous rapportĂ© / Demande le douanier / Rien que des cigarettes / Lui rĂ©pond le poĂšte / Les parfums d’un corsage / EffleurĂ© en chemin / Et toujours de passage / Quelques amis lointains / / REFR
 Ça fait plus de vingt fois, monsieur le directeur / Que je viens proposer mes nouvelles chansons / Ça fait plus de vingt fois que vous regardez l’heure / Que vous me dites non / / Bien sĂ»r vous n’ave
 C’était le temps des crinolines / Et des chaperons dans la cuisine / De la tĂ©vĂ© en noir et blanc / J’avais quinze ans / Cours de latin, cours de philo / Courses en patins, Victor Hugo / CafĂ© du coin, 
 Ce n’est rien / Rien qu’une petite chanson / Qui n’est lĂ  que pour le frisson / D’avoir la samba dans les hanches / / Je sais bien / Que ce n’est pas lĂ  ma façon / Mais sur mon piano sans raison / Au
 T’en fais pas, tu l’auras / Ton petit mouton de laine / Tu l’auras ton cinĂ©ma / Ta maman de fin d’semaine / Mais de grĂące ne va plus / Chez mamie chiper des biĂšres / Pour les vendre aux inconnus / C’e
 Tape, tape ton pas / Dompte, dompte ton pied / Tape, tape ton pas / Mais lĂąche lousse ton soulier / / C’est Ă  petits pas / Que la vie commence / C’est Ă  petits pas / Que l’on fait ses premiers pas / 
 Mes pas ont passĂ© dans la neige / La neige a passĂ© sur mes pas / Je n’ai pas eu de Libera / J’étais tout seul dans mon cortĂšge / Je me suis fait quelques arpĂšges / Pour accompagner mon trĂ©pas / Je me
 Quand je suis loin de toi / Je me sens loin de tout / Je me sens loin de moi / Je me sens moitiĂ© fou / Ça fait des mois, des mois / Que j’te cherche partout / OĂč es-tu, dis-le moi / OĂč es-tu mon tilou
 Je ne sais rien du paysage / OĂč nous transportera demain / J’aimerais qu’il fĂ»t une plage / OĂč tu me prendrais par la main / J’aimerais qu’il fĂ»t ton visage / Et la douceur de vivre autour / Mais je 
 À force d’avaler nos cheveux dans leur soupe / Un jour les bĂ©lugas couleront comme des chaloupes / TĂŽt ou tard / À force de bouffer nos excrĂ©ments chimiques / Un jour les fruits de mer seront tous en 
 Tournent la terre et les saisons / Rien n’est plus doux qu’ĂȘtre avec elle / L’amour m’est chaque jour nouvelle / Et l’amour c’est notre maison / / C’est une voix dans la cuisine / C’est un pas dans l
 Elle a des rĂȘves adolescents / De princesse au bois dormant / Mais Ă  trente ans, elle a pas l’temps / D’attendre cent ans / Et le soir quand elle sort danser / Elle abandonne au hasard / Le choix du p
 C’est toute nue / Que je t’aime le plus / Je le sais bien / C’est vexant pour tes robes / Je les aime bien / Mais dans la garde-robe / Ou prĂšs du lit / Quand elles tombent su’l’tapis / C’est toute nue
 Mes pas ont passĂ© dans la neige / La neige a passĂ© sur mes pas / Je n’ai pas eu de Libera / J’étais tout seul dans mon cortĂšge / Je me suis fait quelques arpĂšges / Pour accompagner mon trĂ©pas / Je me
 Toi t’as tout, t’as tous les atouts / T’as le pique et le cƓur / Tu me piques le cƓur tout partout / Avec ton corps moqueur / T’as toujours, quel que soit l’hiver / Un trĂšfle Ă  quatre feuilles / Un ca
 Tu vas voter demain mon pĂšre / Moi je n’ai pas encore ce droit / Aussi tu penseras j’espĂšre / Que tu le fais un peu pour moi / Toi qui possĂšdes l’expĂ©rience / Tu dois savoir bien mieux que moi / Qu’i
 Chaque fois que je vois dans le ciel / La trace d’un avion / J’imagine un arc-en-ciel / Pour les piĂ©tons / J’peux passer des heures Ă  rĂȘver / Dans les aĂ©rogares / Le bout du monde est Ă  cĂŽtĂ© / Du mome
 Finissons-en une fois pour toutes / Une fois pour toutes finissons-en / Pensons-y donc une fois pour toutes / Une fois pour toutes pensons-y donc / / Tout s’rait si simple si dans vingt ans / On d
 REFRAIN / Une lampe s’allume / Une lampe s’éteint / Une Ă©paule s’allume / Une Ă©paule s’éteint / / Sur la table un bouquet / Se fane et puis renaĂźt / Un ruisseau s’endort / Une Ă©toile se lĂšve / / /
 Heureusement qu’on est heureux / Parce qu’autrement on serait ben malheureux / Heureusement qu’on est heureux / Parce qu’autrement on serait ben malheureux / / J’aurais donc voulu t’acheter / Vu qu
 Les moulins Ă  vent sont Ă  vendre / Tous les enfants sont devenus grands / Les derniers fous n’ont qu’à se rendre / L’hiver s’est trompĂ© de printemps / Et l’on souscrit des assurances / On fait l’éparg
 Quand la vie n’est plus qu’une vitre vide / OĂč la pluie lentement bat le temps / Quand on ne tient plus dans ses mains avides / Que le souvenir d’un jardin vacant / / Alors on se dit que rien n’aura 
 Y a trop de morts dans cette ville / Et pas assez de cimetiĂšres / Ça fait que les morts font la queue / Ils sont sur la liste d’attente / Comme Ă  l’assurance-chĂŽmage / / Alors ils vont au cinĂ©ma pour
 IntĂ©ressĂ©e par l'explication des paroles de cette chanson ou d'autres ? Venez faire l'analyse des textes avec nous ![Couplet 1 - M. Pokora]Maman chante en soloMaman danse la valse toute seuleSes rĂȘves d'enfant Ă  l'eauPersonne ne rĂȘve d'ĂȘtre seuleElle a l'amour en prisonElle n'a pas le temps pour le printempsGarde son bonheur en dĂ©tentionMes sourires font les siens en attendantPapa si tu savaisComme elle manque de souffleAllĂŽ le monde si vous saviez, si vous saviez[Refrain - M. Pokora]Petit Ă  petit, Maman fait son nidPapa est parti se refaire une vie pas trop loin d'iciPetit Ă  petit, Maman te l'a ditTu feras ta vie, tu feras mieux que luiTu feras mieux que nous[Couplet 2 - M. Pokora]Papa chante en soloPapa danse le tango le dos cassĂ©Et la foule vient de monter le niveauSouffrir oui, mais un peu de dignitĂ©Il a le cƓur en prisonIl n'a pas le temps pour le printempsComme les promesses sont trahisonAutant acheter du rĂȘve aux enfantsMaman si tu savaisComme il manque de souffleAllĂŽ le monde si vous pouviez l'aider[Refrain - M. Pokora]Petit Ă  petit, Papa fait son nidMaman est partie se refaire une vie pas trop loin d'iciPetit Ă  petit, Papa te l'a ditTu feras ta vie, tu feras mieux qu'elleTu feras mieux que nous[Refrain - M. Pokora]Petit Ă  petit, Maman fait son nidPapa est parti se refaire une vie pas trop loin d'iciPetit Ă  petit, Maman te l'a ditTu feras ta vie, tu feras mieux que luiTu feras mieux que nousPetit Ă  petit, Papa fait son nidMaman est partie se refaire une vie pas trop loin d'iciPetit Ă  petit, Papa te l'a ditTu feras ta vie, tu feras mieux qu'elleTu feras mieux que nous alpha M artiste Michel Sardou titre Les lacs du connemara Les paroles de la chanson Les lacs du connemara »Michel Sardou Terre brĂ»lĂ©e au ventDes landes de pierre,Autour des lacs,C’est pour les vivantsUn peu d’enfer,Le nuages noirsQui viennent du nordColorent la terre,Les lacs, les riviĂšres C’est le dĂ©corDu printemps suivant,Le ciel irlandaisEtait en a plongĂ©Nue dans un lacDu Kelly s’est dit "Je suis aussi."L’église en granitDe Limerick,Maureen a dit "oui".De TiperraryBally-ConnellyEt de Galway,Ils sont arrivĂ©sDans le comtĂ©Du avait les Connor,Les O’Conolly,Les FlahertyDu Ring of KerryEt de quoi boireTrois jours et deux au Connemara,On sait tout le prix du au Connemara,On dit que la vieC’est une folieEt que la folie,Ça se brĂ»lĂ©e au ventDes landes de pierre,Autour des lacs,C’est pour les vivantsUn peu d’enfer,Le nuages noirsQui viennent du nordColorent la terre,Les lacs, les riviĂšres C’est le dĂ©corDu y vit encoreAu temps des GaelsEt de Cromwell,Au rythme des pluiesEt du soleil,Au pas des y croit encoreAux monstres des lacsQu’on voit nagerCertains soirs d’étĂ©Et replongerPour l’ y voit encoreDes hommes d’ailleursVenus chercherLe repos de l’ñmeEt pour le cƓur,Un goĂ»t de y croit encoreQue le jour viendra,Il est tout prĂšs,OĂč les IrlandaisFeront la paixAutour de la au Connemara,On sait tout le prix de la au Connemara,On n’accepte pasLa paix des GalloisNi celle des rois d’Angleterre... Paroles de la chanson Merci... pour tout merci papa par Michel Sardou C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. On est dans l'coup papa, Et jusqu'au cou. Toi tu t'envoies en l'air Et nous voilĂ  sur terre. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup . Vous direz Ă  mes filles, quand elles auront quinze ans, Qu'elles sont nĂ©es un jour d'un Ă©clat de printemps. Leur maman Ă©tait belle et j'en avais envie Mais le ciel m'est tĂ©moin que je n'ai rien promis. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. On est dans l'coup papa, Et jusqu'au cou. Toi tu t'envoies en l'air Et nous voilĂ  sur terre. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. Vous direz Ă  mes filles, quand elles auront quinze ans, De se mĂ©fier des hommes qui leur disent en chantant Des paroles d'argent pour atteindre leur cƓur Et font en mĂȘme temps le geste du semeur. C'est un beau coup papa, Un coup de trop. Coucou et nous voilĂ , AnnĂ©e zĂ©ro. Toi tu as disparu Au premier coin de rue. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. Vous direz Ă  mes filles, si vous les rencontrez, De bien jouir de la vie que je leur ai donnĂ©e, De jouer Ă  tous les jeux et surtout Ă  l'amour, Et d'oublier demain pour le bonheur du jour. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. On est dans l'coup papa, Et jusqu'au cou. Toi tu t'envoies en l'air Et nous voilĂ  sur terre. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. C'est un beau coup papa, Un coup de trop. Coucou et nous voilĂ , AnnĂ©e zĂ©ro. Toi tu as disparu Au premier coin de rue. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. ï»żParoles de la chanson Histoire VĂ©cue par Yves Jouffroy Tu m'avais dit "Pour le printemps Je t'offrirai un bel enfant" Nous Ă©tions fous, nous Ă©tions deux Qu'il Ă©tait doux d'ĂȘtre amoureux Avec l'automne, les feuilles se sont fanĂ©es C'est en hiver que c'est arrivĂ©. Tu conduisais vite, la route Ă©tait verglacĂ©e Je crois qu'il neigeait, tu m'as quittĂ©. On s'Ă©tait dit "C'est pour la vie" Je porte encore ton anneau d'or J'aimerais crier, ne plus pleurer Ca sert Ă  quoi ? Jamais tu ne reviendras. ParlĂ© Oh mon Amour, mon tendre Amour Ce soir encore je suis tout seul, un peu perdu. ÉpinglĂ©e sur le mur de notre chambre, en face de mon lit Il y a ta derniĂšre lettre, un peu froissĂ©e. Je la connais par coeur Voix de femme, parlĂ© Mon ChĂ©ri, cet enfant que je t'avais promis pour le printemps, Tu sais, nous l'appellerons ClĂ©ment. Je suis folle de joie, je pars ce soir Demain je serai dans tes bras, je t'aime Avec l'automne, les feuilles se sont fanĂ©es C'est en hiver que c'est arrivĂ©. Tu conduisais vite, la route Ă©tait verglacĂ©e Je crois qu'il neigeait, tu m'as quittĂ© Mais je ne t'oublie pas

chanson tu m avais dit pour le printemps